Un rapport de cas montre que la photobiomodulation sur eye-light® est un nouveau moyen de gérer une affection complexe du segment postérieur au-delà de la dDMLA.
Le groupe Espansione, innovateurs en matière de solutions médicales en ophtalmologie et pionnier des technologies de photobiomodulation (PBM), a le plaisir d’annoncer ses premiers résultats démontrant l’efficacité de la luminothérapie LM®LLLT dans la gestion de la choriorétiopathie séreuse centrale chronique (cCSC).
La technologie LM® LLLT (PBM) a déjà reçue le marquage CE sur l’appareil eye-light® pour le traitement de la dDMLA, garantissant son efficacité, sa sécurité et sa haute tolérance.
Le rapport de cas récemment publié par le Dr. C. Iovino (Italie) et al. sur Retinal Cases & Brief Reports Journal, témoigne du potentiel de la luminothérapie dans les soins du segment postérieur au-delà de la DMLA.
Un patient de 55 ans présentant un décollement majeur de l’épithélium pigmentaire (DEP) secondaire à un CCSC a été traité avec succès par PBM, au moyen d’un protocole de traitement optimisé (par rapport à celui utilisé dans les essais cliniques de LightWave pour le dAMD).
Les résultats ont montré :
♦️ L’OCT-SD de l’œil gauche a montré un aplatissement progressif du DEP maculaire après 3 mois.
♦️ Une régression complète du DEP et du liquide sous-rétinien (SRF) à 6 et 12 mois, sans atrophie résiduelle sur l’autotofluorescence du FO.
♦️ Une augmentation étonnante de l’acuité visuelle la mieux corrigée de 25 à 60 lettres ETDRS, confirmée par MP.
Le protocole thérapeutique consistait en une séance hebdomadaire pendant quatre semaines, suivie d’une séance toutes les deux semaines pendant deux mois supplémentaires.
Bien que des efforts de recherche supplémentaires soient nécessaires pour valider ce résultat, ce cas marque une avancée significative dans l’application de la technologie de photobiomodulation avec l’eye-light®, démontrant à la fois l’efficacité et le potentiel de ce traitement tout en élargissant le champ d’application de la technologie LM® LLLT.
FIG. 1
L’image montre les images SD-OCT au démarrage (A) qui révèlent un décollement épithélial pigmentaire (DEP) prononcé avec du liquide sous-rétinien.
L’image SD-OCT à un mois de suivi (B) révèle un aplatissement du DEP avec la persistance d’un DEP plat accompagné d’un matériau hyper/hyporéflectif.
L’image SD-OCT au bout de trois mois (C) montre un nouvel aplatissement du DEP.
FIG. 2
L’image montre l’autofluorescence du fond d’œil (FAF) de base qui présente un anneau hyperautofluorescent à la périphérie de la PED.
L’image de suivi à trois mois révèle une isoautofluorescence dans la région maculaire sans aucune trace d’atrophie de l’épithélium pigmentaire rétinien.
FIG. 3
La photo montre la microperimétrie (MP) au départ (A) qui montre une réduction de la sensibilité rétinienne dans la zone maculaire avec une valeur moyenne de 7,4 dB. La microperimétrie au bout de trois mois (B) montre une amélioration significative de la sensibilité rétinienne dans la zone maculaire avec une valeur moyenne de 26,5 dB.