Adil, optométriste au Centre ophtalmologique de Rive à Genève et passionné d’imagerie nous parle dans cet article tout récemment paru d’une nouvelle génération d’OCT de type Swept source ayant vu le jour : le DREAM OCT. Plus large, plus profond, plus rapide, ainsi qu’une segmentation plus précise ; voici ce que l’on peut attendre de ce tout nouvel appareil dont l’arrivée du marquage CE est proche.
Depuis l’invention de l’OCT Swept source, la technologie n’a eu de cesse de s’améliorer en augmentant toujours plus sa profondeur ainsi que sa largeur d’acquisition. A lui seul, le DREAM OCT VG200 de la société Intalight bat la concurrence dans les deux paramètres. En effet, pour le segment postérieur, il permet une visualisation périphérique pouvant aller jusqu’à 12 mm de profondeur. La largeur des scans elle, atteint les 26 mm avec l’ajout d’une lentille Ultra-Wild-Field. Il couvre donc un champ de 130° en une seule acquisition. Une fonction de montage automatique étend cette couverture à 200°, permettant de visualiser des lésions périphériques de la rétine.
Il s’agit d’un appareil multimodal puisque sa profondeur d’imagerie de 16,2 mm dans l’air lui permet d’être également un appareil de choix dans la visualisation détaillée des structures oculaires du segment antérieur.
Sa vitesse d’acquisition est de 200 000 A-scan/s ; sa longueur d’onde de 1 050 nm ; et sa caméra SFO dispose d’un tracking haute performance de 150 Hz, ce qui permet d’éviter les artefacts liés aux mouvements oculaires et de réduire les interférences afin de garantir des images de haute résolution.
Enfin, l’algorithme TrueAngio™ améliore la détection des flux sanguins subtils, réduisant les faux positifs et fournissant des images angiographiques précises.
En intégrant ces fonctionnalités, le DREAM OCT™ VG-200 se positionne comme un outil essentiel facilitant une évaluation complète et précise des pathologies oculaires.
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